Concert dimanche 11 mai à 16h30 à Chaumont (Haute Marne).
Espace Bouchardon (ancienne bibliothèque), 87 rue Victoire-de-la-Marne
Entrée : 15 euros
Renseignements et réservations : Classica Viva (06 21 53 37 11) ...
L’association Classica Viva vous invite à son dernier concert de la saison 2013-2014.
Sylvie Berland (flûte), Arabelle Audin (violoncelle) et Catherine Aubriot (piano) formeront à nouveau le trio qui avait accompagné le chœur Vocalys dans sa dernière série de concerts, centrée sur le Requiem de Gabriel Fauré, en octobre 2013.
Quatre trios seront proposés, couvrant la période classique (Haydn) et les débuts du romantisme (Kuhlau, Farrenc, Mendelssohn). Dans certains cas, la flûte est jugée indispensable par le compositeur et l’écriture tient d’emblée compte de ses spécificités. Mais le plus souvent, il s’agit de versions alternatives (prévues par les compositeurs) de trios écrits pour violon, violoncelle et piano, où la flûte remplace le violon. Si ce changement peut surprendre, il paraît très séduisant à l’écoute, car la flûte apporte un timbre radicalement différent et chacun des trois instruments est mieux perçu dans son individualité.
Le programme fera entendre les œuvres de deux compositeurs rarement joués, Friedrich Kuhlau (allemand, ami de Beethoven) et Louise Farrenc, dont la musique de chambre se révèle de très bonne facture.
Mais la pièce maîtresse du concert sera le magnifique et célèbre trio n°1 de Menselssohn, écrit en 1839 pour violon, violoncelle et piano, et qui sera cette fois entendu dans une version alternative avec flûte, prévue par Mendelssohn. Peaufinée selon les conseils de Schumann, l’œuvre est empreinte d’un romantisme exacerbé et émaillée de redoutables difficultés techniques.
En complément, une belle page de Schubert – la seule qu’il ait consacrée à la flûte ! – , bâtie sur un lied poignant de son recueil La Belle meunière, mettra en lumière les possibilités virtuoses de la flûte et du piano.
Quatre trios seront proposés, couvrant la période classique (Haydn) et les débuts du romantisme (Kuhlau, Farrenc, Mendelssohn). Dans certains cas, la flûte est jugée indispensable par le compositeur et l’écriture tient d’emblée compte de ses spécificités. Mais le plus souvent, il s’agit de versions alternatives (prévues par les compositeurs) de trios écrits pour violon, violoncelle et piano, où la flûte remplace le violon. Si ce changement peut surprendre, il paraît très séduisant à l’écoute, car la flûte apporte un timbre radicalement différent et chacun des trois instruments est mieux perçu dans son individualité.
Le programme fera entendre les œuvres de deux compositeurs rarement joués, Friedrich Kuhlau (allemand, ami de Beethoven) et Louise Farrenc, dont la musique de chambre se révèle de très bonne facture.
Mais la pièce maîtresse du concert sera le magnifique et célèbre trio n°1 de Menselssohn, écrit en 1839 pour violon, violoncelle et piano, et qui sera cette fois entendu dans une version alternative avec flûte, prévue par Mendelssohn. Peaufinée selon les conseils de Schumann, l’œuvre est empreinte d’un romantisme exacerbé et émaillée de redoutables difficultés techniques.
En complément, une belle page de Schubert – la seule qu’il ait consacrée à la flûte ! – , bâtie sur un lied poignant de son recueil La Belle meunière, mettra en lumière les possibilités virtuoses de la flûte et du piano.
Un beau programme, avec une alliance de timbres qui devrait ravir les mélomanes.
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